« Un studio sur l’Atlantique » associe deux universités pionnières en création littéraire des deux côtés de l’Atlantique : l’Université Paris 8 en France et l’Université d’Iowa aux Etats-Unis. Pendant quatre ans, les étudiant(e)s-écrivain(e)s de ces deux universités écrivent et réalisent des podcasts littéraires en français et en anglais. Après une première série réalisée en 2023 sur le thème du « Sentiments d’appartenance », la deuxième saison a pour sujet « Soulèvements ». Une production Frictions et R22 Tout-Monde réalisée grâce au soutien de l’École Universitaire de Recherche ArTeC, de la fondation Villa Albertine et de l’Ambassade des États-Unis en France, de l’École Universitaire de Recherche ArTeC.

22 épisodes

Un studio sur l'Atlantique

Fiction 20 min.

On s'élève et on se casse

Quand la science-fiction rejoint le réel : trois passagères et un passager sont interrogés juste avant de faire le grand saut de l’inconnu, partir pour une autre planète. Un nouveau départ qui les questionne sur leur attachement à cette planète-ci. Qu'espérer de cette échappée belle ?

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Récit 11 min.

Jai Alai : le jeu alègre

Nicolas, fier de ses origines basques, explore sa quête identitaire à travers le rock, les repas chez la abuela et l'analyse politique.

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Les ingrédients de l'appartenance

Des toits de Katmandou aux champs de maïs du Midwest, Sarah et Wyatt explorent ce que notre alimentation raconte de nous.

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Récit 13 min.

Les coupures

Céline trouve dans le sous-sol familial des souvenirs de la guerre d'Algérie, confrontant ainsi un passé longtemps dissimulé.

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Images difficiles

Connie et Aaron nous racontent comment ils ont trouvé leur place dans leur laideur. Une exploration des rejets auxquels ils ont été confrontés en tant que corps en situation de handicap et du refuge qu'ils ont su créer en détournant leur regard de la beauté conventionnelle pour mieux apprécier leur singularité.

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Récit 12 min.

Abécédaire du Ch-arabia

Malgré la distance linguistique qui existe entre Lina et son père né au Maroc, la berceuse en arabe qu'il lui chantait, enfant, a profondément influencé son imaginaire et son écriture. Pour mieux inventer sa propre langue, celle des “enfants bâtards”.

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