À bientôt, peut-être
Une femme, un homme, et une rencontre fortuite. Un monde de joie, d'amour et de terreur.
Une belle vie
Dans un café de Buenos Aires, un homme et une femme se rencontrent par lectures interposées. Quel destin sera le leur ?
La Dame à la cape rouge
Une femme mystérieuse fascine. Il se dit qu'elle a fait partie des mortels qui ont connu verbes et alphabets anciens.
L'Économie du mal
Des individus venus d'ailleurs tentent de comprendre ce qui a conduit à l’effondrement de l’humanité sur Terre.
Singing dishes, la magie du marketing
Marika Guibert est "brand manager" chez Prop, une marque de produits hygiéniques. Aujourd'hui est un grand jour pour elle : c'est le "brand development day" des tablettes de lave-vaiselle. Une journée qui doit lui valoir sa promotion. Si tout se passe comme prévu...
Le rôle de sa vie
C’est un grand jour pour Mathilde, une jeune stagiaire en journalisme. Elle s’apprête à rencontrer et à interviewer la prochaine grande star du cinéma français, Elias Seidah.
Si, ça compte vraiment
La quiétude d'une résidence pavillonaire est interrompue quand un adolescent, noir, vient frapper à l'une des portes.
Les yeux du Bayon
Depuis quelques jours, Vannak est fiévreux. Et les informations à la télévision sont formelles : on est au coeur d’une nouvelle épidémie mondiale. Alors Vannak fêtera ses 38 ans dans sa chambre, en visio avec sa famille dans le salon.
Le Fantôme en nous
Vera ne peut pas s’en empêcher, on a eu beau lui dire que c’est un comportement à éviter, qui va à l' encontre du bien de la société et du sien, aussi. Sa nièce, Lucia, à peine plus jeune qu’elle, et qui vit actuellement sous son toit, obéit à la même logique inspirée par la voix de sa tante : depuis l'annonce du confinement obligatoire, moyen de contrôle des épidémies datant du Moyen Âge et décidé par le gouvernement — qui pourrait se durcir au fil des jours — elles passent leurs après-midis au supermarché. Pour résister aux mois d’isolement à venir, Vera et sa nièce y remplissent à ras bord leur chariot, sous le regard réprobateur de ceux à la bourse moins remplie. Les placards sont pleins, et comme l'appartement est petit, elles doivent slalomer entre les vivres stockés, pour circuler. Paradoxalement, elles n’ont été jamais aussi submergées de vivres qu’en cette période de pandémie. La peur du manque